REMEMBERING SCOTLAND’S CONTRIBUTION TO MONTREAL
ON THE OCCASION OF ITS 375th ANNIVERSARY
(Souvenirs de la contribution écossaise à Montréal
À l’occasion de son 375e anniversaire)
Conférencier: Révérend J.S.S. Armour, D.D.
Quand: Jeudi 16 février, 2017, de 19h30 à 21h
Lieu: Édifice Centennial Hall,
288, boulevard Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais suivie d’une période de questions
Rév. Armour est ministre émérite de l'église St. Andrew and St. Paul sur la rue Sherbrooke - congrégations issues de l’originale Scotch Kirk (Église écossaise) sur la rue Saint-Gabriel, fondée en 1792. À quelques pas de son ancienne église (qui est d'ailleurs l'église régimentaire du Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada), nous découvrons la contribution écossaise à la ville de Montréal. A l'ouest, la rue Mackay nommé pour Donald Mackay, un des premiers trafiquants de fourrures; et la rue Simpson, du nom de Sir George Simpson, gouverneur de la Compagnie de la Baie d'Hudson. L'église est sur la rue Redpath, qui menait autrefois à la maison du magnat du sucre John Redpath, dont le fils Pierre a donné à McGill le Musée Redpath et la bibliothèque Redpath. Amy Redpath vivait en face de l'église dans une jolie maison entourée d’arbres et de vertes pelouses, maintenant cachée par l’édifice Port Royal. Amy a donné le portail Roddick de l'Université McGill, en mémoire de son mari, écossais terre-neuvien de Harbour Grace. À l'est de l'église, il y a la rue Drummond, du nom de la femme de John Redpath, la rue McTavish et la rue Hutchison. Voilà pour les noms de rue! Passons maintenant aux institutions - Trafalgar School for Girls, le Musée des Beaux-arts, Ogilvy, l'hôpital général de Montréal, sans oublier l'université de James McGill, rendue célèbre par un autre Écossais, Sir William Dawson - ses bâtiments donnés par des hommes dont les noms étaient McLellan, Macdonald, Strathcona et Mount Stephen. Et derrière l'église est le Mille Carré Doré, autrefois lieu d’habitations des plus riches familles du Dominion, en grande partie des Écossais. Les historiens parlent d’ascendance anglaise - écossaise serait plus juste, comme vous allez l’apprendre durant cette conférence.
J.S.S. Armour détient des diplômes des universités de Toronto, Edinburgh, Memorial et Union Theological Seminary de la ville de New York, ainsi qu'un doctorat honorifique du Collège Presbytérien, Montréal. Il est l'auteur de trois livres et l’éditeur des histoires du Club de curling Royal Montréal, du Collège Presbytérien, Montréal et de l’Église Dissenting Church of Christ à St. John’s, Terre-Neuve. Lors de sa retraite de St. Andrew and St. Paul en 2000, il prend la décision de s’installé à Beaconsfield.
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Montréal's three beginnings, Hochelaga, Tiohtiagi, and Ville-Marie
Conférencier: Roy Wright
Quand : Jeudi 19 janvier 2017, de 19h30 à 21h
Où : Édifice Centennial Hall
288, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais. Période de questions bilingue.
En 1535, Jacques Cartier s’est rendu à Hochelaga, alors comme aujourd'hui un centre rivalisant avec la colonie de Stadacona en aval du fleuve, dans ce qui est maintenant la ville de Québec. Il l'a décrite comme une communauté d’environ 1500 habitants entourée d’une palissade, et au cours de sa brève visite il a été mené par le chef du village au sommet de Mont Royal.
En 1609 et 1611, Samuel de Champlain a visité les sites de Kahnawake et Montréal (ce dernier marqué avec un A sur sa carte de 1612). Ici, il devait faire portage autour du « Sault Saint-Louis », les Rapides de Lachine, soulignant leur importance aux autochtones rassemblés pour faire diplomatie et commerce. L'importance diplomatique de l'endroit est commémorée dans le nom iroquoien Tiohtiagi, et celle commerciale est encore aujourd'hui une caractéristique importante de Montréal, située à l'entrée de la voie maritime.
Enfin en 1642, Paul de Chomedy de Maisonneuve, Jeanne Mance et environ 50 colons français ont commencé à bâtir une communauté sur le site marqué 30 ans plus tôt. La nouvelle colonie fortifiée fut nommée Ville-Marie, en célébration de la vision religieuse du Sieur de Maisonneuve et de Mgr de Laval.
400 years – History of the Richelieu
From Warpath to Playground
(400 ans de la rivière Richelieu
De sentier de guerre à terrain de jeux)
Conférencier: Derek Grout
Quand: Jeudi 17 novembre 2016, de 19h30 à 21h
Lieu: Édifice Centennial Hall,
288, boulevard Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais suivie d’une période de questions bilingue.
Derek Grout vient nous présenter son nouveau livre.
Malgré sa courte longueur d’une centaine de kilomètres, la rivière Richelieu a joué un rôle crucial dans l’histoire mouvementée de la Nouvelle-France et dans le développement du Canada. Joignez-vous à l’historien et auteur Derek Grout lors de sa présentation illustrée retraçant l’évolution de cette rivière au cours des quatre derniers siècles, de sentier de guerre à terrain de jeux.
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The Prehistoric Mound Builders of the North American Eastern Woodlands:
Myth and Reality
Conférencier: Martin Byers PhD
Quand : Jeudi 20 octobre 2016, de 19h30 à 21h
Où : Édifice Centennial Hall
288, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais. Période de questions bilingue.
Martin Byers est né à Fort William (maintenant Thunder Bay, Ontario) en 1937 mais a grandi à Montréal. Diplômé de l’Université McGill avec un baccalauréat et une maîtrise en histoire/anthropologie, il a obtenu un doctorat en anthropologie/archéologie de New York State University à Albany. Il a enseigné l’anthropologie et les sciences humaines au Collège Vanier de Montréal, de 1970 à 1998. Martin Byers est chercheur associé au département d’anthropologie de l’Université McGill à Montréal, Québec, Canada. Il est l’auteur de nombreux articles dans des revues académiques et a publié 3 livres.
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Canada and the Battle of Vimy Ridge
(Le Canada et la Bataille de la crête de Vimy )
Conférencier: Roman Jarymowycz PhD
Quand : Jeudi 15 septembre 2016, de 19h30 à 21h
Où : Édifice Centennial Hall
288, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais. Période de questions bilingue.
La bataille de la crête de Vimy se déroule au cours de la Première Guerre mondiale, entre le 9 et le 12 avril 1917. Cette bataille constitue la naissance d’une armée nationale canadienne.
Les forces britanniques et françaises échouèrent devant les lignes allemandes mais, grâce à la contribution du corps canadien, la position changea de mains.
D’un point de vue militaire, cette bataille est un exemple du passage des opérations de guerre du XIXe siècle au combat moderne de la guerre totale. Vimy illustre l’évolution tactique et stratégique d’un conflit mené selon les normes scientifiques telles une planification minutieuse, des exercices de pratiques ainsi qu’une reconnaissance agressive à tous les niveaux.
De plus, la bataille de la crête de Vimy marque l’apogée des corps d’armée montréalais. Les divers bataillons participent tous très activement. Dans le cas des Black Watch, le taux de participation ne fut jamais surpassé.
Ainsi Vimy est une bataille prototype de celles qui amèneront la victoire et par conséquent, l’approche et les techniques du corps Canadien servirent désormais de modèle à viser.
Le Lieutenant-Colonel Roman Johann Jarymowycz, est diplômé du Collège Loyola et de l’université McGill. Il fut enseignant au niveau secondaire dans le système scolaire du Québec et a donné des conférences au Collège militaire royal du Canada, et dans les Collèges des Forces canadiennes. Il fut le commandant de The Royal Canadian Hussars et Dean of the Canadian Forces Militia Staff College.
Ses publications incluent: Cavalry from Hoof to Track, The History of the Royal Montreal Regiment 1945-1990, ainsi que Tank Tactics, gagnant du US Army Historical Foundation Distinguished Book Award pour 2001. Il vient de terminer l'histoire Royal Highland Regiment of Canada,The Black Watch RHR, en deux volumes, à paraître à l'automne 2016. Il travaille présentement sur l’histoire de la Cavalerie royale de Montréal.
Il a fait partie de l’équipe ayant produit des documentaires pour Radio Canada et la CBC tels que : The Killing Ground, The Valour and the Horror, ainsi que The Great War. ================================================
Commençant en septembre 2016, la Société historique Beaurepaire-Beaconsfield a choisi de vous présenter des conférences autour du thème de l'histoire du Canada
Bienvenue à tous.
Gratuit pour les membres; $2 pour les non-membres.
Devenez membre pour seulement $5 par année.
Information : Contactez-nous
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Journée Symposium Préhistoire en Amérique
Quand : Samedi, 25 juin 2016, Une journée spéciale à ne pas manquer.
Où : Annexe Herb-Linder (Boulingrin)
303, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A7
Nous avons réunis pour cette journée très spéciale des conférenciers qui viennent vous présenter leurs précieuses découvertes. Soyez nombreux à venir assister à ces conférences exceptionnelles, en anglais, chacune suivie d’une période de questions et discussions. Voir plus de détails dans la description de chaque conférence.
Horaire:
9h à 10h: inscription et accueil
10h à 12h : Conférence de Gérard Leduc
The Knights Templar Take to the Sea towards Nova Francia
(Les Templiers prennent la mer vers Nova Francia)
12h à 14h : Pause repas. Vous pouvez apporter votre propre lunch ou manger dans un des restaurants des environs.
14h à 16h : Conférence de Gordon Freeman
ASTRONOMY: Canada's Stonehenge in 3200 BC, and Gregory's Bologna in AD 1575
(ASTRONOMIE: Le Stonehenge canadien en 3200 av. J.-C., et La Bologne de Grégoire III en 1575 apr. J.-C)
Inscription :
À l’avance :
En ligne, en remplissant le formulaire, indiquant « Symposium du 25 juin » dans la section « Commentaires »
Lors de nos conférences mensuelles
Lors de notre assemblée générale annuelle le samedi 11 juin 2016.
Sur place :
Inscription dès 9h
Coût : 5$ pour les membres
10$ pour les non-membres
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The Knights Templar Take to the Sea towards Nova Francia
(Les Templiers prennent la mer vers Nova Francia)
Conférencier: Gérard Leduc
Quand : Samedi, 25 juin 2016, de 10h à 12h
Où : Annexe Herb-Linder (Boulingrin)
303, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A7
Conférence en anglais suivie d’une période de questions bilingue.
Une conférence illustrée inédite par Gérard Leduc Ph D, de Potton
L’ordre du Temple est créé à Jérusalem en 1099 et sa branche armée, les Templiers, a pour but de protéger les pèlerins en Terre-sainte. Ce qui ne les empêche pas de conquérir la Palestine, d’établir une multinationale et de se doter d’une grande flotte. Ils rejoignent les autres continents et, en moins de deux siècles, deviennent immensément riches. En 1314, le roi Philippe le Bel les arrête et nombreux finissent leur jour sur le bûcher. Des milliers d’autres s’échappent et s’installent dans des pays voisins pour une vie meilleure.
À leur apogée, ils accostent en Nouvelle-France et y laissent de multiples vestiges dans les archives et dans plusieurs anciens bâtiments répartis sur le territoire du Québec, et ailleurs dans le nord-est américain. On reconnaît leur passage par la croix pattée rouge sur les plans de Ville-Marie, dans les ruines de forts très sophistiqués à Montréal, de même que sur la côte de la Nouvelle-Angleterre et à Terre-Neuve. Une découverte majeure est celle d’un poste templier d’une mission religieuse sur l’île de Chekoutimi, sur la rivière Saguenay, face à la ville actuelle de La Baie (Chicoutimi). Cette île mythique n’est plus, mais mes recherches l’ont redécouverte.
Architectes et artisans chevronnés, imbus d’astronomie et de mysticisme, ces pionniers-templiers en ont laissé des traces dans leurs bâtiments. Ils ont construit des tunnels et des chambres secrètes.
Comment les Templiers ont-ils disparu? Le Petit âge glaciaire débutant vers 1300 A.D.? La peste bubonique? L’hostilité des Indiens?
À la Renaissance, les puissances d’Europe se lancent dans les Grandes découvertes. De France, les rois envoient des agents secrets à la recherche des sites que les Templiers ont abandonnés quelque 200 ans auparavant en Nova Francia. On peut suivre ainsi la route de nos découvreurs partis à la recherche des Templiers disparus.
Aujourd’hui, les liens des francs-maçons avec la tradition des Templiers sont fascinants à découvrir.
Gérard Leduc
À la suite de ses études en biologie à l’université de Montréal, Gérard Leduc s’est inscrit à Oregon State University où il a obtenu un Ph. D. en pêcheries, en 1966. Il a enseigné au Département de biologie de l’Université Concordia jusqu’en 1990. Dans les Cantons-de-l’Est, il a fondé l’Association du patrimoine de Potton qu’il a présidée durant quinze ans. Il poursuit des recherches sur le patrimoine local et sur divers vestiges de pierres provenant d’anciennes civilisations européennes (Celtes et Vikings). Il est l’auteur de nombreux communiqués de presse sur l’histoire et l’archéologie locales, d’une vidéo, d’expositions et d’un livre sur l’histoire de Potton. Il est aussi animateur d’excursions et conférencier.
Parallèlement, il a entrepris des recherches sur une ancienne présence des Templiers en Nouvelle-France bien avant le Régime français du 17e siècle. Un livre est en préparation sur le sujet et il écrit sur l’énigme des francs-maçons.
ASTRONOMY: Canada's Stonehenge in 3200 BC,
and Gregory's Bologna in AD 1575
(ASTRONOMIE: Le Stonehenge canadien en 3200 av. J.-C.,
et La Bologne de Grégoire III en 1575 apr. J.-C)
Conférencier: Gordon Freeman
Quand : Samedi, 25 juin 2016, de 14h à 16h
Où : Annexe Herb-Linder (Boulingrin)
303, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A7
Conférence en anglais suivie d’une période de questions bilingue.
M. Freeman et son épouse ont découvert le Temple solaire (Sun Temple) près de Majorville dans le sud de l’Alberta le 21 août 1980. Depuis, ils ont séjourné sur le site durant plusieurs jours en été, automne, hiver et printemps, tous les mois sauf en février. Un total d’environ 250 jours.
Le Temple contient des calendriers solaire et lunaire précis, marqués de longues lignes de pierres, ou cairns, pointant exactement sur le levée et le coucher du soleil et de la pleine lune lors des dates charnières du calendrier : solstices d’été et d’hiver, équinoxes du printemps et de l’automne. (En vieil anglais, henge veut dire hinge (hinge dates ou dates charnières), d’où le nom Stonehenge.)
La découverte la plus remarquable a été que les dates lors desquelles le jour et la nuit sont de longueur égale de 12 heures chacun, les équinoxes, ne sont pas les dates dites de l’équinoxe selon notre calendrier, le calendrier grégorien.
M. Freeman nous démontrera comment le calendrier solaire de Great Plains fonctionnait en 3200 av. J.-C. et dans la Bologne de Grégoire en 1575 apr. J.-C. Et nous dira pourquoi le Pape Grégoire III a donné la mauvaise date à l’équinoxe en 1582 apr. J.-C.
De nouvelles découvertes sont mises à jour à mesure qu’il fait l’analyse des 13,000 photographies du site.
Gordon Freeman est né en 1930 à Hoffer, Saskatchewan, et a été introduit aux artéfacts de l’Âge de pierre à l’âge de six ans. Son père ramassait des pointes de flèche en pierre et des outils de pierre dans les prairies de la Saskatchewan après que les vents secs eurent érodé les sols cultivés.
Il a obtenu un M.A. de l’Université de la Saskatchewan, un Ph.D. de McGill, et un D.Phil. de Oxford. Il est physicien en chimie, a été durant dix ans Président de Chimie physique et théorique à l’Université de l’Alberta, et durant trente ans Directeur du Centre de recherche en radiation à ce même endroit. Il est maintenant professeur émérite. Durant cinquante ans, il a innové en études interdisciplinaires en chimie, physique, archéoastronomie et humanité. Il a plus de 450 publications à son actif en chimie, physique, archéoastronomie et autres sujets.
Comme passe-temps, il a visité plusieurs sites archéologiques au Canada, aux États-Unis, en Angleterre, Irlande, Europe et Asie. En 1980, son épouse Phyllis et lui ont découvert un Temple solaire vieux de 5200 ans dans le sud de l’Alberta et l’étudient depuis ce temps. En 1989, ils ont transporté en Angleterre leurs techniques d’observation développées en Alberta afin de résoudre la controverse entourant un possible calendrier à Stonehenge. Les magnifiques calendriers anciens presque identiques du sud de l’Alberta et de Stonehenge ont d’innombrables répercussions sur la préhistoire et l’histoire internationales.
Livre écrit par cet auteur: HIDDEN STONEHENGE: Ancient Temple in North America Reveals the Key to Ancient Wonders, London, Watkins Publishing, 2012.
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Migration, Genetics, and Social Stratification in Human Prehistory
(Migration, générique et stratification sociale dans la préhistoire de l’humanité)
Conférencier: Alex Kim
Quand : Jeudi, 19 mai 2016, de 19h30 à 21h
Où : Édifice Centennial Hall
288, boul. Beaconsfield, Beaconsfield, H9W 4A4
Conférence en anglais
Alex Kim nous donnera son point de vue sur la préhistoire de l’humanité à partir de données de l’ensemble du génome de l’ADN ancien et de l’avènement de dialogue sur la génétique, l’archéologie et la linguistique historique. Géographiquement, l’accent sera vraisemblablement mis sur l’Amérique du Nord.
Alexander M. Kim
B.A. Harvard 2013 (Organismic & Evolutionary Biology; Uyghur language).
Research associate 2013-15, David Reich Ancient DNA Laboratory, Dept. of Genetics, Harvard Medical School:
- explorer l’histoire de la population humaine à partir de données des génétiques ancienne et moderne.
Ph.D. candidate 2015- in Archaeology, Dept. of Anthropology, Graduate School of Arts & Science, Harvard University:
- étudier les questions de migration, de diversité et de stratification sociale dans le passé de l’humanité,
particulièrement dans les hautes latitudes de l’Eurasie et de l’Amérique du Nord, mais aussi en Asie centrale et dans l’ensemble du Pacifique.
- en espérant faire la synthèse de la génétique et d’autres sujets de recherche (e.g. archéologie classique, linguistique historique)
pour une perspective plus complète de la préhistoire de l’humanité.
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